ET AUSSI…
Compagnies Amies
« Pignon Sur Rue » – Cie Les Egalithes
Spectacle de la Cie Les Egalithes (Landes – 40)
Tout Public- ½ journée à journée(s)
Intervention sur site – Déambulation, Chansons de proximité
Quoi de mieux qu’un tandem pour jouer à deux et proposer un voyage chanté dans l’espace public ? Quoi de mieux qu’un commandant de bord et une hôtesse de l’air pour piloter cette bicyclette à deux places ? Quoi de mieux que quelques escales musicales pour un voyage insolite ? Un départ pour Rio de Janeiro, puis Pékin en passant par Dublin? Vous y redécouvrirez des standards revisités, réarrangés, Réinventés… Prêts pour un voyage sonore immobile?
Comment voyager avec la Compagnie Pignon sur Rue : Le commandant et son hôtesse stoppent leur tandem,donnent les consignes de sécurités aux passagers qui tournent une roue qui va définir leur destination. « Welcome on board, c’est votre commandant Debord qui vous parle. Le voyage au départ de New-York est annoncé sans perturbations. »
Départ immédiat pour ‘’Une virée à deux” en Italie, un ‘’Voyage, voyage » en Jamaïque, une ‘‘Bicycle Race”à Broadway, un tour de France à “Bicyclette” ou, pour les plus chanceux, un tour du monde Medley. Le commandant de bord en plein jet lag, son hôtesse delight et leur tandem orange vous embarquent pour une invitationaux voyages.
Ce spectacle a déjà joué lors de festivals, sur des marchés, lors de changements deplateaux de concerts, lors d’ouverture de saisons, en bord de plage, dans des zonestouristiques, de passages ou galeries commerçantes, etc.
« BAKANA » – Cie Das Arnak
Tout Public à partir de 6 ans – durée 40 min
Circulaire – jauge 100-700 personnes
DAS ARNAK n’est avant tout pas une arnaque. C’est une idée un peu folle qui émerge dans la tête de
Claire, Frida et Cathrine un soir d’automne dans le Gers.
En 2021, elles créent alors la compagnie “Das Arnak” dans les Hautes-Pyrénées pour porter le
premier projet de leur nouveau trio : BAKANA

BAKANA
Un spectacle de danse, et mât chinois bien tiré par les cheveux.
BAKANA c’est du cirque d’extérieur et pour tout le monde !
A l’aide de leur grand chignon, trois artistes se soulèvent, se tirent, s’élèvent, se soutiennent, se
mettent des bâtons dans les roues et de l’huile dans les rouages.
Elles prennent et se laissent la place, cherchent leur équilibre, toutes ensembles, interdépendantes –
interconnectées – interspatiales.
Sur une musique bien rockn’roll, elles défient avec humour leurs limites.. et les nôtres.
Humaines, créatures, drôles de bestioles, de quelle espèce sont-elles ? Bakana, c’est une
chimère hybride, une bête à trois têtes franco-danoise-mexicaine !
ciedasarnak@gmail.com
Archive(s)
« OGRES ! » -Addict-
Librement inspiré par « les ogres anonymes » de P.BRUCKNER.
De et par Frédéric DAVID accompagné par Jeff Manuel (musique)
« Balthus est en proie avec ses démons : comment échapper à sa destinée tragique d’ogre?
Pourquoi lui aussi ne pourrait-il pas aspirer à une existence plus paisible en paix avec ses frères humains ? »
C’est l’histoire d’un ogre qui veut guérir de son « ogritude »…
L’histoire d’une addiction, d’une promesse faite à un père……
C’est aussi l’histoire d’un enfant de 13 ans doit tenir une promesse…
C’est peut être plutôt l’histoire d’un conteur qui dans le verbe, la parole a trouvé de quoi s’apaiser…
L’histoire d’un ogre percute ici et là l’histoire d’un homme et tout se différencie, tout se mélange, tout se ressemble !
Deux personnages sur scène : Le comédien et le musicien !
Ou plutôt l’ogre BALTHUS et son valet CARCIOFI ?
Tout sera histoire de point vue, d’orientation,
de distance…de volonté !
Une envie folle de raconter… de nous raconter !
C’est rock, ça percute, ça danse, ça joue !
On est surpris, on rit, on s’émeut…on vit !
On se régale, on s’en met une bonne tranche !
Vous avez dit addiction ?
Une adaptation par Frédéric DAVID.
« Un spectacle entre le roman de Bruckner et une parole d’un enfant.
Un texte original fracturé d’un récit intime »
NOTE D’INTENTION :
« Mon père est mort, j’étais enfant… La vie l’a quitté sous mes yeux… Et il ne m’a rien dit… Pas un mot d’amour, pas un au revoir, pas de paroles qui me donneraient une direction à ma vie… J’ai cru que c’était un handicap pour moi, pour la suite !! J’en ai souffert. Je lui en ai voulu. J’y ai survécu. Je m’en suis guéri. Je lui ai profondément pardonné. »
Dans le roman de Pascal BRUCKNER, Balthus ZAMINSKY, fils et petit fils d’« ogres », voit lui aussi son père mourir… Un père qui lui fait promettre de perpétuer la tradition… Comment faire avec ce destin quand quelques années plus tard, ce fils, Balthus, s’engage à renier son état d’ogre? Mettre fin à cette addiction ? Devenir abstinent….
Est ce trahir son père ? Comment se soigner d’une addiction ?
Le chemin n’est pas aisé. Y a t il une issue possible ?
Lequel de ces deux enfants a eu le plus de chance le jour de la mort du père?
Celui qui se retrouve enfermé dans une promesse faite à son père au risque de la trahir?
Ou celui qui se retrouve devant le vide abyssale d’un silence ?
Et qui pour le combler peut névrotiquement tombé dans une addiction .
L’affaire n’est pas simple !
Suis je aussi « un addict » du verbe, du mot ? Suis je « Ogre verbal ?
Et si le verbe était ma façon de prendre soin de moi ?
Ou une forme d’addiction, une maladie ?
Je sens cette envie chez moi de raconter cette histoire de Balthus ZAMINSKI, au prise avec une addiction féroce qui le relie à la parole du père, à l’histoire familiale. Histoire de son parcours en quête de guérison, en cela assisté par son fidèle valet CARCIOFI.
Une féroce envie de parler des combats que même cet homme. En rire, en être ému, en jouer !
Un ogre. Un comédien. Deux destins différents qui se rencontrent.
Suis je à ma façon comparable à ce Balthus ?
Mon compagnon musicien sur scène serait-il mon « Carciofi » ?
La pièce sera ainsi …
Epopée intime et universelle à la fois. La musique sera présente.
Comme une musique intérieure, discrète mais aussi envahissante…
Elle portera au delà du mot, le propos, l’atmosphère… la Quête !
Une envie folle de raconter… de nous raconter !
« Méfiez vous des histoires, elles passent souvent par la même porte que les réalités ! »
Frédéric DAVID
